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Baël Rosier Libre ϟ Réservé ϟ Pris
★ Feat : Richard Madden (non négociable) ★ Âge : né le 12 août 1997, il a donc presque 24 ans. ★ Ascendance : Sang-pur, héritier de la famille Rosier. Vous pouvez découvrir l’histoire de cette famille dans ce sujet ★ Métiers/études : Chasseur de vampire jusqu’au coup d’état phénix de décembre 2020, privé de sa liberté il embrasse une carrière de policier dans l’enceinte de Pré-au-Lard. ★ Maison : Serpentard ★ État civil : Marié à Calliope Rosier, née Kark. ★ Faction : Ombre de la rose noire. ★ Caractère : sarcastique - amusant - distant - aime faire son emmerdeur avec ces proches - autonome - calme - égocentrique - autoritaire - je-m'en-foutiste - orgueilleux - souriant - manipulateur - rancunier - fainéant - observateur – solitaire – Plus doux qu’il n’y parait. ★ Particularité : Démoniste. C’est davantage une malédiction qu’un don, la chose a empoisonné son existence toute sa vie, et en dépit de sa première tentative pour s’en débarrasser. - Explication sur la démonologie:
Le démonisme pour les nuls ! Quelques prolégomènes
Il est des branches plus obscures que d'autres, même au sein de la magie noire. Le terme de magie noire désigne des agissements que la morale réprouve, permettant généralement de nuire à autrui. Dans certains cas, les pratiques de magie noire peuvent également être néfastes au sorcier qui les lance, au-delà de toute considération éthique. Les origines du démonisme, un art occulte aussi nommé « démonologie » sont méconnues. On estime la création de ces pratiques cruelles au Moyen-Âge sorcier, si ce n'est avant car certains historiens sorciers penchent pour l'Egypte antique. C'est au quatorzième siècle que Nicholas Noctem, pratiquant notoire de magie noire, a consigné par écrit les premières informations sur le démonisme. L'obscurantisme moldu aurait incité les sorciers de l'époque à un gain de puissance magique afin de survivre. Il va sans dire qu'un pacte avec les Enfers ne peut se dérouler de manière paisible.
Théorie générale
Le pacte avec un démon donne un gain considérable de puissance magique dans l’apprentissage de sortilèges de magie noire, mais on aurait tort de considérer ces « contrats » particuliers comme des avantages ou ne serait-ce que comme un marché intéressant pour le démon et le sorcier.
Autour de leurs huit ans, l’âge constituant un palier dans le développement rationnel de l’enfant, les sorciers candidats au démonisme sont soumis à un cauchemar incontrôlable dont ils doivent se réveiller. Ceux qui n’ont pas la chance de pouvoir le faire, meurent généralement d’une étrange crise cardiaque. Les autres sont alors conscients de la présence d’une entité dans leur tête. La notion d’ami imaginaire disparaît alors peu à peu de leur innocence. Ils deviennent des apprentis-démonistes. Durant les dix-huit premières années de sa vie, jusqu'à son Initiation, le jeune démoniste sera parcouru de quelques crises et ne pourra se défaire des voix des démons dans son esprit. Devenu « majeur » chez ces occultistes, il subira de plein fouet des crises fréquentes et de plus en plus violentes liées à sa confrontation permanente avec le démon. Chacun d'eux, sorcier et démon, cherchera à garder le contrôle du corps, ce qui entraîne bien souvent des migraines insoutenables qui amènent aux crises violentes dont parlent tous les ouvrages évoquant le démonisme. Petit à petit, l'âme usée du sorcier finira par laisser le contrôle du corps au démon. Jusqu’à ce jour, aucun démoniste n'a dépassé les soixante ans en étant sain d'esprit. La moyenne d'âge avant la folie pure est un peu en dessous des cinquante ans. Le corps pourra survivre après ce délai, mais les chances de trouver encore une trace du sorcier dans son enveloppe charnelle remplie par le démon sont très minces. Une partie des démonistes meure jeune, des suites d'une crise, tuée par un proche s'étant défendu, d'un arrêt cardiaque ou de causes ... Difficiles à expliquer.
Quoi qu'il se passe, l'âme du démoniste ira aux Enfers où elle connaîtra son lot de tourments éternels : pas un démon ne se prive d'expliquer par le menu ce qu'il arrivera de sa conscience au sorcier qu'il habite. Tout suicide devient de ce fait impossible, loin d'être un soulagement quelconque, il ne s'agirait que d'un moyen de hâter l'échéance.
Le démonisme permet de lier l'âme et le corps d'un sorcier aux Enfers. Les règles du pacte avec le démon ne peuvent être changées et semblent s'appliquer à tous les démonistes du globe. Les sources les plus anciennes sur cet art occulte témoignent de peu d'évolution dans les rapports entre sorciers et démons : il n'y a à priori qu'un contrat-type entre démon et sorcier, un protocole clair qui implique des conditions non négociables.
Tout d'abord, le démonisme est transmissible aux enfants. Il n'existe pas de moyen pour un sorcier démoniste, homme ou femme, de faire en sorte que son sang ne soit pas porteur du même calvaire. Une certaine entraide est née entre les pratiquants de cet art occulte de part et d'autre du globe. Si les mariages dans cette communauté secrète permettent d'éviter une consanguinité entre familles de sang-pur du même pays, la plupart des démonistes veille à ce que ce genre de petits arrangements paraisse aussi naturel que possible pour un mariage arrangé. Il est à noter que le démonisme intervient dès la formation d'un pacte avec le démon, dès la naissance pour les enfants. Les bambins nés de parents pratiquant la magie noire entendent des voix dès leur plus jeune âge. Les adultes jugent le bas-âge comme étant la « meilleure » période de la vie d'un démoniste : l'enfant n'est en effet pas en mesure de comprendre le sens des paroles et ne souffre que d'un mal de tête, pas encore de problèmes psychologiques. Les dits problèmes commencent à se manifester dès que l'enfant fait l'acquisition du langage. Avant ses huit ans, le jeune candidat démoniste entend en effet les voix de plusieurs démons, un traitement plus difficile que le temps où il deviendra un apprenti démoniste et sera lié définitivement à un de ces êtres infernaux. Ce lien se traduit souvent par le choix du candidat lors du cauchemar incontrôlable où l’un des démons parviendra à le prendre au piège, liant son existence dans son âme. Soumis à des brimades démoniaques dès leur enfance, incertains quant à leur avenir et souvent peu aimés par leurs parents, le taux de mortalité des enfants démonistes est supérieur à la moyenne.
Entendre des voix en permanence sans moyen de les assourdir crée régulièrement des migraines dans l'esprit des pratiquants de cette magie noire. De ces migraines naissent les premières crises de démonisme. Lors de ces moments, le démoniste, quel que soit son âge et ses sentiments ordinaires, cesse de lutter contre les instincts les plus brutaux que lui insufflent les voix qui peuplent ses cauchemars et son éveil. Les crises se manifestent de bien des façons, le trait de caractère dominant du sorcier est en général un terreau fertile pour le démon qui occupe son corps (les démons lorsqu'il a moins de huit ans), mais elles se caractérisent toujours par une extrême violence. Un démon peut marchander, préserver son « hôte » afin de récupérer un corps en bon état lorsqu'il aura usé l'esprit du sorcier, mais ils n'éprouvent pour autant pas de sentiments. Simplement une vision à long terme, du business qui les pousse à manipuler les humains les intéressant, à tuer ceux qui ne leur satisfont pas. Lors d'une crise, le sorcier est pris d'une frénésie destructrice. Il essaie généralement, pendant plusieurs heures, de tuer quiconque passant à sa portée : ennemis, parents, amis, elfes de maison ... Certains démons, incapables d'endiguer la furie de leur sorcier ont dû renoncer à leur corps après que celui-ci s'en soit pris à une créature trop grande pour lui.
Vivre avec des démonistes
La vie avec un démoniste, qu'on en soit soi-même un ou non, reste semée d'embûches. Les démons ne s'apprécient pas particulièrement entre eux, bien qu'ils feront toujours fi des sentiments de leurs hôtes pour ne s'intéresser qu'à leurs plans. Des démons peuvent s'entretuer au travers de leur hôte sans cas de conscience : quand on vient des Enfers, on ne se soucie pas de moralité. Les précautions les plus élémentaires en cas de vie avec des démonistes demandent de la rapidité et un certain goût pour l'architecture médiévale. Il convient de posséder des cachots aérés par une ouverture insuffisante pour s'y faufiler ou s'en échapper, munis d'une porte digne de ce nom résistant aux tentatives désespérées du démon pour en sortir ; garder sa baguette toujours à portée de main et pouvoir dérober celle du démoniste avant une crise sont également des moyens de prolonger son espérance de vie (d'après Corveus Poissard, dans son ouvrage « Des Enfers et du démonisme, se préserver du Mal »,1984 : un crochet du droit vaut mieux qu'un Avada Kedavra). A celui qui vivrait sous le même toit qu'un démoniste (et disposerait donc d'une certaine vivacité d'esprit et de cachots bien entretenus par l'elfe de maison), il sera nécessaire d'insonoriser une bonne partie de l'habitat. Les démonistes sont plus sujets aux cauchemars que le reste des sorciers, et les crises de démonisme impliquent souvent de longs hurlements de douleur ou de haine.
Il en va de même pour les menaces, proférées sans mal par les démons lorsqu'ils sont insatisfaits de leur prison de chair. Même le plus imbécile des démonistes peut paraître déborder d'imagination en matière de menaces lorsque son démon prend le contrôle de ses paroles et de ses actes. Il est bon de s'écarter autant que possible d'un démoniste lors d'une crise. Afin de camoufler les dégâts laissés par les crises, la plupart des familles ont fait un serment inviolable avec un médicomage de talent : celui-ci doit garder le secret et réparer leurs blessures, il reçoit en échange une grasse rémunération. Dans certains dîners mondains (d'aucun parlerons de dîners entre psychopathes), les démonistes échangent les adresses de médecins fiables et de « remèdes » à leurs crises.
L'impossibilité d'une « guérison »
Il ne semble pas exister de moyen de mettre un terme à l'alliance entre un sorcier et un démon. Les formules et pentacles qui ont pu être utilisés pour lier les deux consciences ne fonctionnent pas à l'envers, et aucun démon ne laissera son hôte prononcer une formule qui pourrait lui être néfaste. Puisqu'il est impossible de cacher la moindre émotion, la moindre pensée aux démons les habitant, les démonistes ont bien peu de possibilités d'élaborer un plan leur permettant d'échapper au démon. Tout au plus peuvent-ils limiter physiquement les pots cassés. Si persévérant soit un démon, il ne pourra pas utiliser le corps de son hôte si celui-ci n'est pas fonctionnel. A supposer que le sorcier se soit cassé la jambe, le démon ne pourra pas continuer à le faire gambader au mépris de ses terminaisons nerveuses. De même, il lui serait impossible de contrôler tout à fait le corps d'un sorcier ivre mort, bien qu'il ait alors le champ libre sur l'esprit de son démoniste. Interview de Igor Gourbeillov, médecin agrégé des sciences occultes et de la magie noire, suite à la dernière parution de son ouvrage Aliénation du noir obscur :« Monsieur Gourbeillov, est-il vrai que vous avez rédigé votre ouvrage durant votre séjour psychiatrique à la clinique magique d’Oslivosok ? » « Tout à fait, tout à fait ! Mon internat n’étant qu’une machination de mon ex-femme en vue de profiter de cette faiblesse pour accaparer toute ma fortune, j’ai choisi de mettre à profit ce temps que la justice me donnait. Néanmoins, les rumeurs sur mon aliénation ne sont que pures fantaisies. » « A quoi ressemblent les Enfers ? Votre ouvrage ne nous renseigne que peu sur ce point. » « Doux Merlin, doux Merlin ! Quelle fabuleuse question que celle-ci ! Les Enfers – cet endroit merveilleux - sont perçus comme les ruines des anciennes civilisations destructrices des mondes parallèles pour Claudius Clairoeil. Que nenni, que nenni ! Ce monde en destruction est le plus dangereux qu’il soit. Le vent qui y souffle et les exactions des démons sont emplis de souffre, en putréfaction, agissant sur les faibles vestiges architecturaux mis en place il y a des millions d’années. Si ce n’était un endroit aussi dangereux, il ferait bon de s’y promener et d’admirer une notion de l’encorbellement et des voûtes en berceau. Je confesse que ces merveilles sculpturales ont été mises à mal par le climat de dévastation qui règne en ces lieux. Le vent qui y règne es glacial mais il n’y a pas de saisons ni de changements notables de température. Des écrits plus anciens de Nicolas Noctem évoquent des zones polaires mais l’état des démonistes au sortir de cette traversée des Enfers constitue un témoignage, vous vous en doutez, assez peu fiable. A noter, car c’est en effet notable, que le démoniste accompli peut retourner aux Enfers quand il le désire. Mais pour une raison curieuse, ceux que j’ai pu contacter pour mon ouvrage ont refusé d’aider la science sur ce point et n’ont agrée à ma demande. C’est à n’y rien comprendre, vraiment, vraiment." " En quoi la magie liée au démonisme diffère-t-elle de celle que nous connaissons, ceci incluant la magie noire ?" "Charmante question que celle-ci, mon petit, charmante, charmante ! Elle diffère tout d’abord par l’impossibilité d’y accéder pour les non démonistes. De la même manière qu’il serait cocasse de voir un moldu prononcer un sortilège et agiter un bout de bois après avoir étudié notre magie, le sorcier commun sera incapable d’utiliser le démonisme et la magie qu’il implique. Prenant Il est possible de l’utiliser par le biais de runes ou d’arithmancie. Afin de communiquer avec son démon ou les Enfers et montrer ainsi son engagement, le sorcier doit être prêt à sacrifier une partie de son intégrité, son intégrité physique. La plupart du temps, ces sortilèges passent donc par l’usage du sang du sorcier ou les runes gravées à même sa peau, parfaitement, parfaitement, mon petit ! "
HISTOIRE
Pour ceux qui ont la chance de ne pas connaître Baël Rosier, de nombreux sorciers le décriraient comme un "irrésistible petit con aussi teigneux et désagréable qu'un gobelin" malgré sa tête et son sourire d'ange. Étant le premier enfant des Rosier, le bambin eut le temps de faire sa place et de s'imposer face au monde avant que ces sœurs n'arrivent. S'imposant comme l'aîné "mâle" qui hériterait, il se repose sur ces lauriers et s'efface très volontairement de la scène familiale et médiatique. Il préfère aisément laisser Azaël vanter les principes de leur famille en se plaçant au-devant la scène. Baël vécut une enfance relativement calme grâce à son effacement face au caractère intempestif de la cadette. L'entrée à Poudlard lui conféra plus d'autonomie et de liberté, ce qui lui permit de rêver d'aventures. Diplômé à ces dix-sept ans, sa rencontre avec le célèbre chasseur de vampires, Marlack Gram-Schmidt lui permit de prendre un tournant dans la route déjà tracée par ses parents. Evan J. Rosier avait prévu que son fils entre au Ministère avec lui. Cependant, il fallut un cran impressionnable au jeune homme pour faire valoir ses choix et réussir à convaincre ses parents de ne pas suivre les traces de son paternel. Bien que la relation père-fils en pâtit, Baël est plus que satisfait. En devenant chasseur de vampires, il peut désormais partir du manoir familial quand il lui plait, sans avoir à demander la permission ou être suivi bien que sa majorité en soit passée. Bien entendu, prendre son indépendance totale aurait été plus simple pour lui... si seulement il n'avait pas aussi peur des responsabilités que cela éconduit. Le jeune homme n'est pas comme les autres sorciers sang-pur de sa génération : il n'aime pas les réceptions et devoir feindre la comédie pour être agréable (bien qu'il y arrive à merveille). Tout ce qui l'intéresse réside dans un coeur mort qui se relève, sa baguette et une course poursuite se terminant par un petit tas de cendres (Baël brûle les corps derrière lui). Le luxe et l'oisiveté ne sont rien sauf lorsque cela constitue son petit confort : à savoir ses armes et son lit.
En plus : Comme tous les membres proches de sa famille, Baël est un démoniste aujourd'hui. Bien qu'ayant été inconscient pendant une semaine et cloué au lit durant quatre mois, il réussit avec brio l'épreuve finale. Personne, mise à part sa famille, ne sont au courant. Cette hospitalisation à domicile est passée pour un accident de chasse.
♦ A Savoir ♦
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